Et si votre corps essayait de vous dire quelque chose ?

💔 Quand le corps crie ce que l’âme ne peut plus taire

Et si les douleurs, les maladies, les gênes physiques que nous ressentons n’étaient pas de simples "bugs" biologiques, mais des messages porteurs de sens ?
Et si notre corps était le miroir silencieux – mais fidèle – de nos émotions, de notre histoire intérieure, de nos blessures refoulées ?

C’est une idée que j’avais envisagée avant mais sans vraiment l'exploiter (c'était une notion intellectuelle).
Jusqu’au jour où mon corps a crié.

J’ai eu un cancer du sein droit. Agressif. Stade III.
Le genre de diagnostic qui fait exploser tous les repères en mille morceaux.

J’ai eu peur. Non pas de mourir mais Peur souffrir, Peur de me perdre, Peur d'être diminuée
Peur d'être dépendante.

Mais j’ai accepté.
J’ai accepté le protocole médical dans son intégralité : chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie.
Parce que je voulais vivre.

Ce choix n’a pourtant pas été évident.

La veille de mon hospitalisation, j’étais prête à tout refuser.
J’avais pris ma décision : je n’irai pas.

Et puis... quelque chose en moi a soufflé.
Un élan. Une intuition.
J’ai pris mon téléphone, sans réfléchir, et j’ai appelé Sabrina.
Une femme que je connaissais à peine. Mais que mon âme avait reconnue.

Je lui ai dit que j’allais tout arrêter. Que je ne voulais plus de ces soins.

Elle m’a écoutée.
Vraiment écoutée.

Et elle m’a dit cette phrase que je n’oublierai jamais :

“Construis ton village. Entoure-toi d’âmes, d’amis, de famille. Des gens qui seront là pour te porter dans cette traversée.”

À cet instant, j’ai lâché prise.

J’ai cessé de me battre contre la maladie, et j’ai commencé à l’écouter.
Je l’ai acceptée. Non plus comme une punition.
Mais comme un message.

Je serai éternellement reconnaissante envers elle.
Moi qui n’ai pas l’habitude de demander de l’aide, elle a su, au-delà des mots, entendre ma détresse.
Et m’offrir sa présence, avec une humilité et une générosité bouleversantes.

La vie… l’univers…
Met toujours une âme sur notre chemin au moment juste.
Un ange déguisé en humain. Une lumière au bord du chaos.

Pendant que les médecins prenaient soin de mon corps,
moi, je suis descendue en moi-même.

J’ai exploré mes pensées.
J’ai écouté mes émotions.
J’ai rencontré mon âme.

Ce cancer n’était pas là par hasard.
Il portait en lui un cri que je n’avais jamais osé pousser.
Il me disait : regarde-toi enfin. Écoute-toi. Aime-toi.

J’ai cheminé avec des outils simples mais puissants.
Ils sont devenus mes piliers, mes ressources, mes alliés.

Les huiles essentielles m’ont accompagnée chaque jour.
Mon mindset m’a ancrée dans la vie, dans la foi.
Les fréquences solfèges ont réaccordé mes cellules et mon énergie.
L’hypnose m’a ouvert les portes de mon inconscient, où j’ai pu libérer, transformer, guérir.

Non, je ne suis pas devenue "anti-médecine".
Je crois profondément en la médecine, mais je crois aussi en l’âme.
Je crois que la guérison ne se joue pas uniquement dans les cellules,
mais aussi dans nos émotions refoulées, nos mots jamais dits,
nos besoins oubliés, notre capacité à demander de l’amour, à nous donner de l'amour

La maladie, parfois, n’est pas là pour nous détruire.
Elle vient pour nous réveiller.
Elle devient une porte. Une révélation. Une renaissance.

Alors si vous êtes malade,
soignez-vous bien. Suivez vos traitements. Protégez votre corps.
Mais prenez aussi le temps de vous rencontrer.

Il y a peut-être quelque chose à entendre derrière la douleur.
Quelque chose à transformer, à aimer, à libérer.

“Qu’est-ce que mon corps essaie de me dire avec amour, même si cela fait mal ?”

Le corps ne ment jamais.
Il sait. Il sent. Il vous connaît.

Et quand on apprend à l’écouter,
il n’a plus besoin de crier.

À propos de moi

Je suis une femme en chemin. Sur ce blog, je partage les clés qui m’ont aidée à traverser la maladie, à mieux me connaître, à m’aligner avec ce que je suis profondément. Huiles essentielles, mindset, hypnose, fréquences : je chemine avec le visible et l’invisible. Et j’avance, chaque jour, un peu plus vivante.