« J’ai attendu d’être malade pour écouter mon corps… »

Je n’ai pas toujours été à l’écoute de mon corps.
Je l’ai ignoré, pressé, parfois maltraité sans même m’en rendre compte.
Et c’est quand la maladie est arrivée, que j’ai compris qu’il essayait de me parler depuis longtemps.

On m’a diagnostiqué un cancer du sein. Après des traitements lourds — chimiothérapie, mastectomie, radiothérapie
Mon oncologue m’a proposé sept ans d’hormonothérapie.
Et là, tout a basculé encore. Mais pas comme on pourrait le croire.

Je n’ai pas décidé de “me battre”.
J’ai décidé de m’écouter enfin.

Une révélation tardive, mais puissante

Depuis ce jour, j’explore.
Je questionne, j’apprends, je me reconnecte.

Je me suis engagée dans un chemin d’écoute physique, émotionnelle et spirituelle.
J’ai commencé à lire, à rencontrer, à expérimenter d’autres façons de comprendre mon corps.
Et surtout, j’ai réalisé à quel point on ne nous apprend pas à anticiper.

À quel point tant de femmes vivent dans le doute, sans réponses, sans outils.
À quel point j’aurais aimé, moi, qu’on m’en parle avant.

La piste des phytoestrogènes : une découverte inspirante

C’est dans ce cadre que j’ai découvert les phytoestrogènes de doterra (fiche ici) : ces composés végétaux que l’on trouve dans certaines plantes comme le lin, le soja ou le trèfle rouge.

Contrairement à ce que l’on pense, ils ne “boostent” pas les hormones à l’aveugle.
Ils s’adaptent, modulent, soutiennent.
Ils parlent le même langage que notre système hormonal, en douceur et en intelligence.

Et une étude scientifique sérieuse (PubMed ID 36753952) montre que certains phytoestrogènes peuvent interagir avec un récepteur spécifique appelé GPER, impliqué dans certains types de cancers du sein.
Ils pourraient ainsi jouer un rôle dans la prévention, et dans le soutien du corps avant, pendant ou après un traitement.

Je ne cherche pas à remplacer la médecine. Je cherche à la compléter avec conscience.

Je respecte profondément le traitement que je suis.
Mais j’ai décidé que mon pouvoir de guérison ne se limite pas à un protocole médical.
Il passe aussi par ce que je choisis de manger, de penser, de vivre.
Par les plantes. Par l’émotionnel. Par l’énergie. Par le lien à moi.

Et aujourd’hui, je partage ce chemin pour que d’autres femmes puissent prévenir.
Pour qu’elles puissent comprendre avant que le corps ne crie.
Pour qu’elles ne vivent pas ce que j’ai vécu pour enfin s’écouter.

À toi, femme qui vit dans le doute , tu n’as pas besoin d’aller mal pour commencer à aller mieux.

Tu n’as pas un cancer. Tu n’as peut-être même pas de symptôme clair.
Mais tu ressens que quelque chose est déséquilibré.
Tu observes, tu doutes, tu repousses… Tu attends.

Mais pourquoi attendre d’avoir un diagnostic pour t’occuper de toi ?
Pourquoi faudrait-il souffrir pour devenir légitime à écouter ton corps ?

Je te le dis avec tout mon cœur :
Tu as le droit d’agir maintenant.
Tu as le droit d’explorer, de prévenir, de soutenir ton corps en douceur.

Je t’ouvre un espace de prévention, d’écoute et de reconnexion

J’ai créé un espace pour t’accompagner à travers tout ce que j’ai moi-même appris :
- Des ressources naturelles,
- Des pistes de soutien hormonal,
- Des clés émotionnelles,
- Et une approche globale, humaine, vivante.

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Pas pour avoir peur.
Mais pour devenir actrice de ta santé — dès aujourd’hui, pas demain.

Souffrir n’est plus une fatalité.

Souffrir, c’est un choix… quand on ignore qu’il existe d’autres chemins.
Je suis là pour te les montrer.